M'BUYI LADY Admin
Nombre de messages : 161 Age : 41 Date d'inscription : 21/01/2007
| Sujet: Les députés du MLC tournés au ridicules Dim 27 Mai - 17:15 | |
| CHAPEAU BAS AU RAÏS
Le jeudi 26 avril 2007, les représentants des députés ]MLC et de ceux qui créent du jour au lendemain des caucus aux noms de loge maçonnique ou dignes des confréries des sciences occultes—« Ordre des Démocrates Républicains », pensez donc !ont fini par être écoutés patiemment par deux conseillers du Président qui leur ont promis pince-sans-rire un face-à-face avec l’homme qui a toujours brillé par son charisme de l’absence « dans les tout prochains jours ». [color=white]Chapeau bas au Raïs qui a fait poireauter ces grands enfants espiègles. Pendant que le gouvernement ne sait par quel bout commencer l’œuvre pharaonienne de la reconstruction, cette bande de geignards ne fait que geindre et pleurnicher et se ronger les onglesLe même jeudi—ô coïncidence !—le chef de l’Etat, lui, présidait avec son flegme habituel le conseil des ministres pendant que ses deux conseillers réprimaient des bâillements d’indifférence devant notre caucus de députés dans cette « réunion préparatoire ». Peut-être que les plus intelligents parmi ces écervelés comprendront le signe marqué par cette coïncidence : un camouflet en plein dans la gueule ! Une leçon pratique de déontologie démocratique administrée littéralement ex cathedra du haut du pupitre présidentiel—passez-moi la tautologie. Ce n’est pas pour rien que les Américains appellent familièrement l’office du Président le « bully pulpit »—littéralement, le pupitre du dur à cuire ! C’est le cruel jeu de démocratie pratique que ces « parlementaires debout » soudain parvenus honorables députés ont ainsi appris à leurs dépens ce jeudi : ils auront ainsi intériorisé une fois pour toutes, on l’espère bien, qu’ils sont plus forts dans l’enceinte du Palais du Peuple et non dans les antichambres, quelles que climatisées qu’elles soient, des bureaux du Palais de la Nation. Ah, on excusera le chef de protocole du Palais de la Nation : ce n’est pas par manque de courtoisie qu’il n’avait pas avisé les députés-syndicalistes-grévistes du contretemps fâcheux ; il avait tout simplement oublié—l’erreur est humaine après tout ! [/center] | |
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